Aujourd’hui Madame (part 1).

Il y a des années comme ça, Noêl, c’est hyper.

J’aime bien quand le Père-Noël m’apporte des cadeaux qui me servent a faire des choses. Il y a toujours une poêle ou une casserole ou des scies ou des planches de joli bois sur ma liste, parce que c’est toujours un peu la fête.
Cette année, c’était le cas, super bien vu, super cadeau.

Je me suis retrouvé pourvu d’une machine à coudre et des perspectives infinies qui vont avec.

Accroche toi à ton slibard, Coco Chanel.

Et merci, Père-Noël.


De rien, mec !

J’ai donc passé mes premiers moments avec une machine à coudre.

C’est à ce moment là que Natacha Sicaud m’a sauvé la vie, et c’est une belle histoire de vrais mecs avec une paire comme ça.
Ça sera pour une prochaine note.

 
  1.  

    Uhu, j’en ai une aussi, mais moi j’ai commencé parce que je m’étais cassé la jambe : j’avais qu’un ied et deux mains de libre, et je devais rester assis, alors voilà.

    Si tu veux commencer doucement, fais des sacs ! Tu peux faire des trucs très sympa, et si c’est pas très bien coupé/cousu c’est beaucoup moins grave.

  2.  

    Ben j’espère que c’est pas une Brother, parce que c’est la qualité japonaise façon Fukushima. Sinon, plus sérieusement (mais c’était sérieux quand même) pour éviter des casser des aiguilles surtout sur des épaisseurs on ralentit… j’ai mis des années à comprendre ça. Et alors pour faire des tas de bricoles : des cerf-volants, des housses à appareils qui donnent l’air con ou encore des support d’appareil qui donnent l’air con c’est génial (on a aussi l’option “machins pas forcément pour appareils qui donnent l’air con” soit dit en passant).
    Faut avoir un marteau à portée de main pour écraser les grosses épaisseurs et pour qu’elles passent sous le pied au fait.

  3.  

    Putain mec. Une cocotte minute.

    Avec des oranges dedans.

  4.  

    Who purée le rêêêêêêêve ! Je dois être une fille aussi, au fond !